Nos enfants de la patrie sont de moins en moins nombreux. Nos couples de Gaulois et de Francs, quand ils ne sont pas homosexuels, lésinent à procréer. Ce n’est pas le cas de leurs envahisseurs qui profitent au maximum de nos chères allocations familiales dont la renommée a fait le tour du monde.

Les jours de gloire s’estompent dans notre mémoire collective. Nos chérubins de la patrie ont fini par ignorer qui étaient Vercingétorix, Charlemagne, Roland de Roncevaux, Bayard, Louis XIV, Napoléon, et même De Gaulle.

La tyrannie d’un humanisme de pacotille a remplacé l’amour de la nation. Notre étendard est rongé par les mites du commerce, de la corruption, de la mondialisation. Le sang français coule généreusement. Notre armée et notre police sont cloitrées dans un état de droit qui permet à des juristes inconscients de ne voir en eux que des assassins.

Nos citoyens sont désarmés et ne savent plus former des bataillons pour contrecarrer la férocité de leurs ennemis qui ne se contentent pas de mugir dans nos campagnes et qui assassinent dans le cœur même de nos cités.

Qui nous délivrera de ce cauchemar, de ces sillons sanglants ? Qui saura redresser notre oriflamme et nous redonnera l’envie d’être une nation ? Qui osera entrer dans la carrière quand nos aînés nous font faux bond ? Qu’on se le dise, il est encore des citoyens français qui auront le courage de crier : que revive la France !